Selon ses investigations, il existerait un système organisé autour de certains foyers de l'ASE, où des mineures, parfois dès 11 ans, sont exploitées sexuellement, mises en ligne sur des sites d'escorts, et livrées à des réseaux de prostitution. Des éducateurs, veilleurs de nuit ou autres personnels peu ou mal formés, seraient parfois impliqués ou complices, profitant de la vulnérabilité extrême de ces enfants.